Groupe UMP du Canton de St Nom la Bretèche

Mai 2007 - mai 2009 : la France change


Mai 2007 - mai 2009 : la France change

L'action continue !

Le 6 mai, pour les deux ans de l'élection de Nicolas Sarkozy, François Fillon et 12 ministres du gouvernement se sont rassemblés autour de Xavier Bertrand pour rappeler les résultats de deux ans d'action menée au service des Français.

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Le 6 mai, pour les deux ans de l'élection de Nicolas Sarkozy, François Fillon et 12 ministres du gouvernement se sont rassemblés autour de Xavier Bertrand pour rappeler les résultats de deux ans d'action menée au service des Français. 

Plus de 1 500 nouveaux adhérenbts de l'UMP avaient été réunis pour cette occasion, salle Gaveau à Paris.

« La crise ne changera pas nos engagements »

 C'est devant plusieurs centaines de nouveaux adhérents que Xavier Bertrand a ouvert la réunion, remerciant chaleureusement les militants qui ont soutenu le Mouvement Populaire et le Président de la République tout au long de ces deux années. Le secrétaire général s'est félicité que 22% d'adhérents supplémentaires  aient été enregistrés depuis le début de l'année. « L'UMP a besoin des militants le 7 juin. Nicolas Sarkozy a toujours besoin de vous ! », a-t-il lancé réveillant l'enthousiasme de l'assemblée.

Devant le slogan "Engagements pris, promesses tenues, la France change", Xavier Bertrand a rappelé que ce sont bien 90 réformes qui ont été menées par le gouvernement depuis deux ans. Un clip retraçant les principales mesures et les moments marquants de l'action de Nicolas Sarkozy depuis son élection notamment dans la gestion de la crise économique, a été diffusé. L'occasion pour l'UMP et le Premier ministre de saluer la « volonté » et le « sang froid » du chef de l'Etat.

Grâce à deux années d'engagements tenus, « la parole politique compte de nouveau » a expliqué Xavier Bertrand. Il a invité les adhérents à expliquer la réforme autour d'eux.

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Ils étaient nombreux sur la scène de la salle Gaveau en ce 6 mai pour expliquer la politique du gouvernement et tirer les premiers bilans.

 « Nous avons beaucoup réformé », a expliqué Eric Woerth, ministre du budget, en citant entre autres l'autonomie des universités, portée par Valérie Pécresse, ministre de l'enseignement supérieur.
Déterminée, elle a rappelé que les diplômes d'universités sont des diplômes d'Etat et qu'ils ne seraient pas attribués sans rattrapages des cours.

Nadine Morano, en charge de la famille, a exposé les mesures prises pour améliorer la garde d'enfants, en termes de places et de diversification des structures. Dernière en date, les jardins d'éveil.

Luc Chatel, secrétaire d'Etat à l'industrie, a lui aussi pris position avec ténacité : « Nous ne laisserons personne au bord du chemin ! », rappelant les mesures inédites engagées par l'Etat pour soutenir la réindustrialisation des zones frappées par le chômage.

Laurent Wauquiez, secrétaire d'Etat chargé de l'emploi, s'est lui exprimé sur le chômage des jeunes, expliquant l'avancée que représente le plan d'urgence en faveur des jeunes annoncé le 24 avril par Nicolas Sarkozy.  

Christine Lagarde, ministre de l'Economie, a rendu hommage à la dynamique collective insufflée par Nicolas Sarkozy en évoquant son initiative historique dans l'organisation du G20. Elle est revenue sur la nécessité de valoriser ceux qui entreprennent,  et de réformer les systèmes de rémunération des grands digigeants.

Patrick Devedjian, en charge de la mise en œuvre du plan de relance, a qualifié cette même crise d'injuste mais est apparu rassurant, affirmant que le gouvernement avait réagi très vite et de façon efficcace. Pour preuve, l'un France est l'un des rares pays a avoir crée administration dédiée à la lutte contre la crise.

 Brice Hortefeux, ministre du Travail, a répondu aux attaques de l'opposition sur la réforme du travail le dimanche en expliquant qu'en temps de crise le gouvernement se devait de tout tenter pour défendre l'emploi.

Il en est de même pour Eric Besson, ministre de l'Immigration, qui souhaite avancer vers une intégration réussi et vers la création d'une politique européenne d'immigration. La lutte contre l'immigration illégale c'est d'abord la lutte contre la violence et les réseaux de clandestins.

Après s'être félicitée que la délinquance soit revenue à son niveau de 1997, Michelle Alliot-Marie a détaillé les mesures en cours, contre les bandes violentes ou encore contre les vols à main armée dans les petits commerces qui se sont accentués ces derniers mois.

Les adhérents souhaitaient également en savoir davantage sur la vie du mouvement. Interrogé sur ce qui devrait être la priorité des régionales de 2010, Xavier Darcos ironisé sur le fait que « Les Français ont sous les yeux le laboratoire de ce qu'il ne faut pas faire avec la gestion des régions par les socialistes ».

Nathalie Kosciusko-Morizet est revenue sur l'importance des débats au sein du Mouvement. Enfin, Rama Yade a rendu hommage à la fidélité des adhérents du mouvement.

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Des encouragements à continuer

 "N'en déplaise à l'opposition, Nicolas Sarkozy continue d'incarner le camp de l'initiative et de l'audace" a affirmé François Fillon. Il a rendu hommage à un Président de la République qui « a du relever un triple défi » : le défi des réformes, le défi de la présidence de l'Union européenne et le défi de la crise financière et économique la plus grave depuis 1929.

Malgré la crise, le gouvernement a en effet maintenu son effort de changement : "cet élan réformiste ne s'arrêtera pas" a affirmé le premier Ministre. Car les lendemains de crise verront s'opposer les nations gagnantes et les nations perdantes a-t-il expliqué : « les gagnantes seront celles qui auront l'audace de se transformer dans la crise pour en faire un tremplin ».

 A un mois des élections européennes, le premier ministre a enfin tenu à remotiver les forces de la droite. « J'ai besoin de vous pour faire de la cause européenne une cause nationale ». Il a fustigé une opposition sans programme qui se contente d'essayer de conduire les citoyens vers un vote-sanction, "contre Nicolas Sarkozy". Mais est-ce là un programme ? On en est loin. « Dans leur course à l'opposition systématique, l'enjeu européen est un enjeu politicien », a-t-il conclu ce sujet.


10/05/2009
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